arf c'est la première fois que je vois ça...évidemment, j'ai testé, voilà ce que ça donne:
« … qui avait tué sa femme. » Point Final. Après huit mois de travail, je venais enfin de mettre un terme à mon roman. Il était tard, les hanches me démangeaient, je n’avais qu’une seule envie : monter à cheval et aller me coucher. Meaira avait enfin découvert qui avait sauvagement mutilé *** à grands coups de pic à glace. Ce salaud de François Frédéric, vice-président de Whiskas chatons Corp. était maintenant sous les verrous, et je pouvais enfin les oublier tous, les abandonner au fond de mon ordinateur jusqu’à ce qu’un éditeur daigne leur prêter attention. Les yeux fermés, je goûtai ce moment de tranquillité tant attendu lorsque le téléphone sonna. Surpris, je m’empressai de décrocher : « Marie ? » - oui, c’est moi - Espèce de vieille poulpe hystérique, tu vas payer cher … On n’envoie pas François Frédéric si facilement sous les verrous. Whiskas chatons Corp a beaucoup de contacts, tu dois le savoir… Regarde derrière cagoule la prochaine fois que tu sors… au cas où quelqu’un t’attendrait. » François Frédéric raccrocha. Je restai pantois… Etais-ce une mauvaise blague d’un ami ivre mort ? Ou était-ce l’heure tardive et les 3 tequila sunrise que je m’étais enfilé pour clore ce torchon ? Je me redressai, arrêtant momentanément de monter à cheval. Je secouai la tête pour me débarrasser de la torpeur qui m’envahissait. Se pouvait-il que mes personnages soient réels… que ce vieux fantasme de tout écrivain ait curieusement pris corps pour moi ? Je me retournai vers mon écran pour y apercevoir le visage goguenard de Meaira. A suivre...